Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

généalogie macobe

7 mars 2023

Accident du travail. Contassot François, 23 ans, gareur aux Alouettes, blessé à la tête.

François CONTASSOT

 

27 février 1923

 

Montceau-les-Mines

cousin :

Accident du travail. Contassot François, 23 ans, gareur aux Alouettes, blessé à la tête.

  Suites mortelles. M. Contassot François, 23 ans, gareur au puits Saint-Louis, a été grièvement blessé mardi dernier, au bas du plan d’une galerie. Le malheureux fut transporté à l’hôpital des mines de Blanzy mais, malgré tous les soins qui lui furent donnés, il rendait le dernier soupir mardi soir.

1923-03-07 - Le puits Saint-Louis à Montceau

1923-03-07 - Puits des Alouettes à Montceau-les-Mines

 

1923-03-01 - le courrier de Saone et Loire -

Publicité
Publicité
13 août 2022

Médaille de la famille Française 1922

13 Août 1922

 

Médaille de la famille Française

La médaille de la famille française est décernée, en témoignage de la reconnaissance nationale, aux mères de famille de la Charente, dont les noms suivent :

Médaille de bronze

7 enfants

Perissat (François), née Mercier ( Marie), à Valence.

1922-08-13- Valence en Charente

13 janvier 2022

Baptême de Quantine Goliar en 1642 à Broye

Bap GOLIAR Quantine : 18/07/1642 à Broye

Le dixhuit jour de juillet a été baptisée Quentine fille de Jehan Goliar et de Léonarde de Champmartin, pour le parrain Quentin De Moley et Philiberte Lacoste.

 

1642-07-18 naissance de Quantine Goliart à Broye - archives_AD071_n_062_5 MI 457_00526_D (1) -

 

18 août 2021

Décès de Jacqueline Serebrianski ( 1928 - 2021)

 

Je viens d'apprendre le décès de l'épouse de mon oncle Fernand ( X en 1948 et + en 1949), à l'âge de 93 ans.
Jacqueline Serebrianski ( 1928-2021)
Ici photo de juillet 1947, très certainement à Epenède, avec l'une de mes arrière-grand-mères (Marguerite)

1947-Juillet - Arrière Grand-Mère Marguerite Nicolas épouse Gaultier et Jacqueline Serebriansky - (2)

22 juin 2020

Saint-Symphorien-de-Marmagne

 

Saint-Symphorien de Marmagne

Suicide. Mme R…, née Debourdeau, 31 ans, veuve de guerre et mère d’une fillette, s’était remariée la semaine dernière avec M. X…, instituteur. Lundi, pendant que son mari était absent, Mme X…, se fit sauter la cervelle à l’aide d’un fusil. Cette fin tragique a causé une grande émotion dans la commune de Saint-Symphorien.

Note : il s’agît de la cousine, Gabrielle-Françoise Debourdeau née le 24/05/1889 à SSM, X en 1907 avec François Rageot ( + 1914).

1920-06-18 - suicide d'une cousine

 

Article du 18/06/1920 Courrier de Saône et Loire.

Publicité
Publicité
22 juin 2019

Vol de la roue de bicyclette, de Jean-Baptiste BENOIT

22 juin 1919

Vol. Une roue de bicyclette, déposée au garage du puits Saint-Louis, roue appartenant à M. J.B. Benoit, de Saint-Vallier, a été soustraite la nuit pendant qu’il était à son travail. Un nommé B…, habitant Blanzy, inculpé de ce vol et interrogé, à restitué la roue à son propriétaire. L’enquête se poursuit.

Il s’agit de Jean-Baptiste BENOIT  ° en 1888 ( cousin) mineur de fond.

 

1919-06-22 - Puits Saint-Louis à Montceau-les-Mines

 

 

1919-06-22 - Journal de Saône et Loire

17 juin 2019

Marie Perissat, retrouvée noyée dans le ruisseau l'obier à Salles-de-Villefagnan

Salles-de-Villefagnan (Charente)

La nommée Marie PERISSAT épouse de Mercier demeurant au bourg de Salles-de-Villefagnan (photo) a été trouvée noyée dans le ruisseau l’Obier au lieu dit « la Prairie de la Tombe ».

La femme Mercier était malade depuis quelques temps ; on ignore s’il s’agit d’un suicide ou d’une mort accidentelle.

(cousine : Elise dit Marie PERISSAT, était né à Benest 16, le 7 janvier 1849, et X à Louis Mercier le 5 février 1890 à Vieux-Ruffec (16). Fille de François et de Catherine Thorin.

Elle avait 2 enfants : André né en 1874 à Saint-Coutant (16), et Jules né en 1882 à Vieux-Ruffec et tué à l’ennemi le 30 septembre 1915 à Aubigny-en-Artois ( 62).

 

Article du « Cri de la Charente »

Le 10 juin courant, des passants ont découvert dans le ruisseau « l’Obier », au lieu dit « la prairie de la tombe », commune de Salles, le cadavre de Mme Marie Mercier, âgée de 67 ans, de Salles-de-Villefagnan.

Le corps a été transporté à son domicile où M. le docteur Pissard, de Ruffec, conclut à un accès de fièvre chaude.

Mme Mercier qui souffrait atrocement de douleurs de tête depuis longtemps, avait, à plusieurs reprises, déclaré qu’elle voulait en finir.

 

1919-06-15 - Salles-de-Villefagan article de presse Le cri de la charente - Perissat

 

 

1919-06-15 - Salles-de-Villefagan article de presse La Charente - Perissat

1919-06-15 - Salles-de-Villefagan

 

 

3 avril 2018

L'assassinat de Jeanne BENOIT, le 02 avril 1911

Voici le dernier article trouvé dans la presse ( 15/03/2018).
Le radical journal socialiste (Article très différent des autres journaux, de Paris et Province traitant du sujet) ( 26 à ce jour)
Un Drame rue des Gravilliers.
Un tailleur malade tue celle qui lui avait donné la syphilis

L’étroite rue des Gravilliers est célèbre par son bal, sa population pittoresque et sa saleté. Des loques pendant à ses hautes fenêtre, au-dessus de géraniums malades qui essaient de s’épanouir et de voir une lumière triste, des ouvriers qui font leur tour de France voisinent avec des vaillantes ménagères et des familles obligées, vu le prix des loyers, de vivre entassés cinq et six dans la même pièce. On y rencontre aussi une étrange population interlope, camelots, fille du Sébasto et seigneurs en rouflaquettes.
Les uns et les autres s’apprêtaient à faire hier une matinée demi-grasse, peut-être parce qu’on est en carême, mais plutôt à cause de la tiédeur de la température, quand des cris : « A l’assassin ! » furent poussés, et d’une maison sortit comme une trombe un homme qui fuyait, tandis que le concierge et plusieurs locataires le poursuivaient, criant : « Au Secours ! Arrêtez-le ! »
Une femme venait d’être assassinée

Clément Bacholier, tailleur en chambre, 16, rue Séverin, sérieux, rangé, excellent ouvrier, meilleurs homme encore, mais inexpérimenté en amour, s’était laissé séduire par les doux yeux de Jeanne Badoit (Benoit). Elle avait alors dix-neuf ans, un « nez ousqu’il pleuvait dedans », des cheveux noirs plaqués aux tempes, la main leste, le cœur impétueux, de la complaisance et une façon adorable de dire aux clients : « Le veau marengo est bon » ou : « le picolo est excellent ». Bacholier la trouva adorable, le lui dit, le lui prouva.
Certes, elle possédait nombre de qualités, mais une d’elles ne se voyait pas, et quand le tailleur la connut il fut terrifié : Jeanne était syphilitique. Quand maître Pangloss acquérit ce mal qui répand la terreur, il remonta à la source, pour notre agrément ;
le pauvre malade se contenta de faire une scène terrible à la malheureuse, garce sans scrupule, hargneuse qui le trompait avec entrain, disant qu’il fallait profiter de s jeunesse. Il la quitta.

Mais le mal minait, lentement, sûrement. Le malheureux allait d’officine louche en médecin. Il y a quelques jours il apprenait que sa maîtresse était depuis quelques temps en ménage avec un brave garçon, Henri Dupois, vingt-sept ans, sommelier. Il essaya de ne pals pense à son malheur, mais comme, il rencontrait parfois Jeanne Dupois (Benoit) il lui fit des reproches sanglants, l’accusant de contaminer encore un pauvre garçon. Elle se moquait de lui, répondant à ses menaces par un rire pointu et méchant.
M. Henri Turot a depuis proposé une loi assimilant la contamination aux coups et blessures avec ou sans préméditation. Bacholier n’aurait pas recouru à la justice, car les pauvre la redoutent, non sans raison, d’ailleurs. Toute peine méritant salaire, à son idée, il résolut de payer la dette qu’il avait contractée auprès de son amie.

Voilà pourquoi, hier, après avoir enfoncé sa porte d’un coup d’épaule, il troua trois fois la poitrine de Jeanne Badoit (Benoit), qui, la chemise souillée de sang trouva la force de se lever et d’appeler à l’aide.
On sait comment la chasse à l’homme s’organisa. L’assassin entra dans l’église Notre-Dame-Des-Champs, troublant la messe. Il s’enfuit par une petite porte, tandis que la foule passait en rafale au milieu des vieilles dames et des fidèles stupéfaits.
Arrêté par des sergents de ville, rendu furieux par les cris de mort rugis derrière lui, tel un sanglier pourchassé par une meute, Bacholier se défendit. A coups de pied, à coups de poing, à coups de tête. Deux agents furent blessés par lui. La foule le réduisit à l’impuissance. Il fut amené au poste le visage en sang, les vêtements en loques. La justice populaire avait fait son œuvre.
Il était si surexcité, si furieux d’avoir été maltraité qu’on dut lui passe la camisole de force.
Le cadavre de la victime a été envoyé à la Morgue.

Note : Henri Turot (1865-1920), est un journaliste français qui a collaboré au Journal et à la Petite République, par ailleurs député socialiste et conseiller municipal de Paris.

 

Jeanne est née au Creusot ( Saône et Loire)

Fait divers illustrés

15 juillet 2014

1806 : à Champnier (Vienne) Événement météorologique, décrite par le Maire M. Brunet

Événement météorologique, décrite par le Maire M. Brunet

 

Le quinze du moins de juillet 1806 sur les 9 heures du soir un ouragan terrible c'est élevé, et au même instant le tonnerre a grondé, les éclairs aussi continuelles que les flammes d'une fournaise ont été le triste présage.

Un nuage fort étendu, du soleil couchant, au soleil levant chargé de grêle, et de pièce de glace d'une grosseur extraordinaire c'est abattu sur cette commune et sur plusieurs autres dans le même alignement pendant la durée de prês d'un quart heure sans interruption, et se déchargeant presque toujours avec une égale abondance, de telle manière que plusieurs arbres fruitiers, noyers, châtaigniers ont été arrachés, et brisés, la récolte de toute espèce en grains a été rependue dans les champs, couverte par la pluie qui a suivi l'orage, elle se trouve enfoncée en terre, tellement qu'il est impossible de ramasser le grain. Les pailles ont été hachées par la pesanteur de la grêle, et la vivacité de la chute, de même que si elles eurent été rompues par exprès, le vent les a dispersées, et ainsi que la récolte en grains et en paille a été enlevée aux habitants.

Le tableau est d'autant plus affligeant, que cette perte, qui prive des moyens de subsistance de la ressource, pour les engrais de l'attente de la production des arbres, exposa plusieurs à ne pouvoir donner de semence à la terre.

Champniers et autour

 

16 juin 2008

PERISSAT Louis - Jeanne BAILLOT : X 1759 à Asnois

AM PERISSAT Louis & Jeanne BAILLOT : X_1759_Perissat_Baillot___Asnois(Asnois) Le 20 février 1759, les mêmes jour et date que dessus a été célébré le mariage de Louis Perissat, fils légitime Antoine Perissat et de feue Marie Vriet de cette paroisse d'une part avec Jeanne Baillot, fille légitime de Anthoine Baillot et de Marie Taillefer les père et mère de la paroisse de La Chapelle Bâton d'autre part. La publication des bans ayant été faite au prône de notre messe paroissiale par trois dimanches ou fêtes consécutives et en l'église de La Chapelle Bâton ainsi qu'il prouve le certificat de leur curé en date du dix neuf du présent mois de la même année, signé Fouquet curé de La Chapelle Bâton et après avoir donnés la bénédiction nuptiale en présence d'Anthoine Perissat père de l'époux, de Jean Vriet parent de l'époux, d'Anthoine Baillot oncle de l'épouse

et autre des plus proche parents et amis qui ont déclarés ne savoir signer de ce requis suivant l'ordonnance. Tromas curé d'Asnois.

Publicité
Publicité
1 2 > >>
généalogie macobe
Publicité
Publicité